La brume, l’eau voila qui invite à surprendre les nymphes, les ondines et autres néréides, mais, aussi, mon ami l’Ankou offrant à son cheval l’eau immobile d’un canal cotonneux, au petit matin blême, à l’issue de la sinistre tournée nocturne en Monts d’Arrée.
Tu vois j’aime la 1 et la 3 qui nous amènent, par le biais du chemin de halage, vers le fond brumeux où le regard se perd.
La 2 me gène car le chemin de halage se casse, et cette cassure me projette dans le centre de la photo, flou, et j’ai l’impression d’être atteint de DMLA…… .
La 4 serait évocatrice du peuple des marais et des eaux stagnantes, mais la branche en bas accroche trop le regard, ça agace. Par contre l’arbre et son reflet me plaisent bien, m’évoquant la foudre …… Un contraste plus accentué peut-être.
Bien vu.
, le il y a 4 années et 4 mois.
