Il y a 2 ans, mai 2018, j’avais pris ce cliché qui avait provoqué de la part de Karine un enthousiasme justifié, et des autres une indifférence glaciale.
Certes je ne shoote pas en région polaire ni en forêt équatoriale, mais l’insecte du jardin n’a rien à envier au gorille ou à l’ours polaire quant à sa vivacité.
Le cliché ci dessous avait donc provoqué en mai 2018, de la part de Karine un enthousiasme justifié.
Temps d’exposition: 1/400 sec
Programme d’exposition: Shutter priority
Numéro F: F 11
Ouverture Max.: F 1
ISO Vitesse : ISO 800
Longueur Focale: 90 mm
Mode de mesure: Spot
On pourrait évoquer la chance, le hasard, l’aubaine, le bonne fortune, la réussite, l’opportunité, le bol quoi, mais moi j’évoquerais humblement le talent. Oui le talent qu’on ne me prête pas, même sur gages, ou à titre gratuit, ou à long terme, ou sans intérêt.
Alors pour donner raison à Karine qui avait fait montre d’un enthousiasme justifié, je propose cette deuxième photo.
Temps d’exposition: 1/800 sec
Programme d’exposition: Shutter priority
Numéro F: F 2.8
ISO Vitesse : ISO 400
Longueur Focale: 90 mm
Mode de mesure: Spot
Alors, c’est que du pot ? Oui un peu, mais j’ai aussi, à ma décharge, un déficit dioptrique que les verres correcteurs à triple épaisseur, double foyer, double arbre à came en tête, ne parviennent pas à compenser.
Et puis « La chance c’est le talent des médiocres » disait Audiard, un maitre, lui.