Oui, je sais, va y avoir des esprits chagrins qui vont marmonner « Qu’est ce qu’il a encore le André à nous bassiner avec son jardin, et encore on est poli, surtout quand il nous parle de ses mouch’am…. « .
C’est vrai que le dernier envoi n’a pas soulevé des tonnes d’observations. Et alors ? Bien sûr, si je m’appelais Andrew-Michaël Freemann, ou Yann-Andréus Bertrand ça éveillerait plus la curiosité, mais même le génie du grand Mozart ne fût pas reconnu de son vivant, alors j’ai de la marge, et je suis patient. Mais j’aimerais plutôt être reconnu de mon vivant.
Bon, ça tire un peu sur le jaune, mais qu’y puis-je Edwige ?
La numérotation, elle, ne varie pas. Je commence par 1 et je reste classique, 2, 3, 4 et 5. D’ailleurs, dans un souci d’uniformisation, cette méthode, la mienne, ayant le mérite d’exister, je propose que ce mètre-étalon de numérotation soit déposé au Bureau International des Poids et Mesures du Pavillon de Breteuil à Sèvres, sous le titre de » Code Officiel de Numérotation ». Le CON. Ainsi chacun s’y retrouvera.
Dans l’ordre :
1
2
3
4